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56 Descentes dans le maelstrÖm
Il faut savoir choisir son chant
Poésie d'au-delà du confinement : une série finie de 108 sessions de poéVie
Mercredi 1er Juillet 2020 ce sera la 108e et dernière de la série « Poésie d’au-delà du Confinement »...
Cela se terminera par un grand MICRO-OUVERT à tout le monde... à 21H...
Le 16 mars 2020, 3 jours avant les mesures officielles de confinement en Belgique, je décidai de lire quotidiennement un ou plusieurs poèmes en direct sur facebook à l'heure qui s'imposerait.
Seule régularité : la lecture, le sentir, décider quelques instants avant ce qui serait lu...
Sur certaines de ces lectures je suis accompagné par mon épouse Nadejda Peretti.
Et depuis début mai, d'autres poètes m'accompagnent de temps à autre, car la poésie se doit d'être avant tout ouverture au monde et ouverture du monde...
Ces vidéos sont ensuite exportées sur notre chaîne Youtube afin d'être accessibles ailleurs que sur les réseaux sociaux.
Pourquoi 108 ?
J’ai en effet décidé de m’orienter vers une finitude de cette série quitte à inventer autre chose par la suite.
On dit en Inde qu’il faut répéter 108 fois un mantra pour qu’il soit effectif (en réalité 100 fois suffiraient mais pour être bien certains on ajoute au 1 — l’objet — et au 0 — le non objet — le 8 qui a valeur d’infini). D’où le choix du nombre.
Voici le lien : https://www.youtube.com/playlist?list=PLDNZD79vUbLrB00BAy6_yxyPqeirWNS5P
Bonnes visions et écoutes
David
Poésie d'au-delà du confinement
Le 16 mars 2020, 3 jours avant les mesures officielles de confinement en Belgique, je décidai de lire quotidiennement un ou plusieurs poèmes en direct sur facebook à l'heure qui s'imposerait.
Seule régularité : la lecture, le sentir, décider quelques instants avant ce qui serait lu...
Sur certaines de ces lectures je suis accompagné par mon épouse Nadejda Peretti.
Et depuis début mai, d'autres poètes m'accompagnent de temps à autre, car la poésie se doit d'être avant tout ouverture au monde et ouverture du monde...
Ces vidéos sont ensuite exportées sur notre chaîne Youtube afin d'être accessibles ailleurs que sur les réseaux sociaux.
Voici le lien : https://www.youtube.com/playlist?list=PLDNZD79vUbLrB00BAy6_yxyPqeirWNS5P
Bonnes visions et écoutes
David
Poésie persane et soufisme, Rûmi et Sohrab Sepheri
Les 13 & 14 décembre nous sommes partenaires du Festival Let’s Art Iran organisé par le SIREAS au Senghor avec entre autres :
* Un magnifique concert de Shadi Fathi et Bijan Chemirani le Vendredi 13 décembre à 19h30 (gratuit)
* Et une rencontre autour de la poésie iranienne de Rûmi et Sohrab Sepehri et du nouveau roman de Evrahim Baran le Samedi 14 à 17h30.
L'écrivain belgo-iranien Evrahim Baran et David Giannoni, créateur et directeur de maelstrÖm reEvolution et du fiEstiva liront des poèmes de Rûmi (1207-1273), un poète persan qui a profondément influencé le soufisme, et de Sohrab Sepehri (1928-1980), grand poète iranien du XXe siècle. Ils seront accompagnés en musique de Shadi Fathi et son setari.
Les lecteurs nous présenteront ensuite le nouveau roman de Evrahim Baran Le syndicaliste, le soufi et moi.
Le programme complet du Festival ICI
Un roman choral et social qui noue et dénoue les relations de trois personnages dans le contexte historique et politique de la Belgique des années ‘90 : affaires de corruptions, privatisations, début des délocalisations et fermetures d’usines... Clabecq : un nom qui représente encore aujourd’hui tout un combat pour que l’humain n’oublie rien de sa condition d’humain !
Gaëlle, jeune lycéenne, s’offre 2 sources d’inspiration. Son père, syndicaliste renommé des Forges de Clabecq en voie de fermeture et le concierge de son école, d’origine étrangère et à vocation soufie. Le premier la pousse à être une battante, ambitieuse et engagée. Le second prône l’isolement, la solitude voire l’inaction.
À l’âge de 25 ans, les deux hommes lui avaient promis un cadeau saugrenu pour son 40e anniversaire. Mais le jour J, ils ne sont pas là…
Avec ce roman, Evrahim Baran scanne minutieusement les composantes sociopolitiques de la Belgique des années ‘90. Le pays est alors confronté aux affaires de grandes corruptions, aux privatisations, au début des délocalisations et à la fermeture d’usines, à de tonitruants dossiers de pédophilie organisée... Il jette un regard à la fois hilarant et sans concession sur le revers décadent de certaines évolutions sociétales.
Evrahim Baran est Belge mais pas d’origine gauloise. La dernière trace de ses origines remonte au nord de l’Iran, au bord de la mer caspienne. Sur ses terres natales, il a passé les 25 premières années de sa vie. Réfractaire à toute sorte d’autorité oppressante, il a la fâcheuse tendance à décrier l’inacceptable. Il n’a jamais cessé de malmener la soutane, la kippa, les femmes couvertes comme des pestiférées, les hommes barbus et le mensonge en politique. Ainsi achalandé, il quitte l’Iran à l’âge de 25 ans et s’installe en Belgique. « Pour apprendre à aimer et oublier de haïr », dit-il.
Chez maelstrÖm il a publié 3 romans : Pressé immobile, De ce côté du mur et La Septième Ville, ainsi que 2 recueils de poésie : Que tu sois et La révolte des poètes.