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Les 13 & 14 décembre nous sommes partenaires du Festival Let’s Art Iran organisé par le SIREAS au Senghor avec entre autres :
* Un magnifique concert de Shadi Fathi et Bijan Chemirani le Vendredi 13 décembre à 19h30 (gratuit)
* Et une rencontre autour de la poésie iranienne de Rûmi et Sohrab Sepehri et du nouveau roman de Evrahim Baran le Samedi 14 à 17h30.
L'écrivain belgo-iranien Evrahim Baran et David Giannoni, créateur et directeur de maelstrÖm reEvolution et du fiEstiva liront des poèmes de Rûmi (1207-1273), un poète persan qui a profondément influencé le soufisme, et de Sohrab Sepehri (1928-1980), grand poète iranien du XXe siècle. Ils seront accompagnés en musique de Shadi Fathi et son setari.
Les lecteurs nous présenteront ensuite le nouveau roman de Evrahim Baran Le syndicaliste, le soufi et moi.

Le programme complet du Festival ICI

    Un roman choral et social qui noue et dénoue les relations de trois personnages dans le contexte historique et politique de la Belgique des années ‘90 : affaires de corruptions, privatisations, début des délocalisations et fermetures d’usines... Clabecq : un nom qui représente encore aujourd’hui tout un combat pour que l’humain n’oublie rien de sa condition d’humain !

Gaëlle, jeune lycéenne, s’offre 2 sources d’inspiration. Son père, syndicaliste renommé des Forges de Clabecq en voie de fermeture et le concierge de son école, d’origine étrangère et à vocation soufie. Le premier la pousse à être une battante, ambitieuse et engagée. Le second prône l’isolement, la solitude voire l’inaction.
À l’âge de 25 ans, les deux hommes lui avaient promis un cadeau saugrenu pour son 40e anniversaire. Mais le jour J, ils ne sont pas là…
Avec ce roman, Evrahim Baran scanne minutieusement les composantes sociopolitiques de la Belgique des années ‘90. Le pays est alors confronté aux affaires de grandes corruptions, aux privatisations, au début des délocalisations et à la fermeture d’usines, à de tonitruants dossiers de pédophilie organisée... Il jette un regard à la fois hilarant et sans concession sur le revers décadent de certaines évolutions sociétales.

Evrahim Baran est Belge mais pas d’origine gauloise. La dernière trace de ses origines remonte au nord de l’Iran, au bord de la mer caspienne. Sur ses terres natales, il a passé les 25 premières années de sa vie. Réfractaire à toute sorte d’autorité oppressante, il a la fâcheuse tendance à décrier l’inacceptable. Il n’a jamais cessé de malmener la soutane, la kippa, les femmes couvertes comme des pestiférées, les hommes barbus et le mensonge en politique. Ainsi achalandé, il quitte l’Iran à l’âge de 25 ans et s’installe en Belgique. « Pour apprendre à aimer et oublier de haïr », dit-il.
Chez maelstrÖm il a publié 3 romans : Pressé immobile, De ce côté du mur et La Septième Ville, ainsi que 2 recueils de poésie : Que tu sois et La révolte des poètes.

Un roman choral et social qui noue et dénoue les relations de trois personnages dans le contexte historique et politique de la Belgique des années ‘90 : affaires de corruptions, privatisations, début des délocalisations et fermetures d’usines... Clabecq : un nom qui représente encore aujourd’hui tout un combat pour que l’humain n’oublie rien de sa condition d’humain !

Une fête pour la sortie des nouveaux romans de 2 auteurs historiques chez maelstrÖm :

« Amour et Kabbale » de Sophie Favennec-Buyse, ou la rencontre fulgurante entre un astrophysicien et une archéologue, tous deux épris d’absolu et de recherche de l’Union sacrée.
« Le syndicaliste, le soufi et moi » de Evrahim Baran, hommage vibrant aux luttes sociales des ouvriers des Forges de Clabecq en Belgique dans les années ‘90 en dialectique avec la figure d’un concierge réfugié politique d’inspiration soufi.

Programme

18h Accueil et verre de l’amitié
19h Musique et danses avec Ninon Robin, Adarsh Yovanny, Zuheir, Iris Pattyn
19h30 Présentation et lectures des livres
« Amour et Kabbale » de Sophie Favennec-Buyse et « Le Syndicaliste, le Soufi et moi » de Evrahim Baran
Avec la participation de Jacques Sojcher, Koshro Khazai, Laurence Vielle, Véronique Bergen, Pascale Champagne, David Giannoni, Denis Favennec, Evrahim Baran et & Sophie Favennec-Buyse
21h30 Auberge Espagnole, musique

Infos pratiques
Merci de fêter cet événement avec nous en prévoyant
d’enrichir le banquet et nos papilles de vos talents culinaires !

Nous serons nombreuses et nombreux : prévoyez un bon coussin
Entrée libre . Infos & réservations : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Adresse : Maison du Livre — 24 rue de Rome — 1060 Saint-Gilles

Evrahim Baran est Belge mais pas d’origine gauloise.
La dernière trace de ses origines remonte au nord de l’Iran, au bord de la mer caspienne.
Sur ses terres natales, il a passé les 25 premières années de sa vie.
Il n’a jamais aimé la grande association des hommes colportant une vérité transcendante.
C’est pour cette même raison qu’il n’a jamais voulu gagner son pain ni de la politique ni de la religion.
Réfractaire à toute sorte d’autorité oppressante, il a la fâcheuse tendance à décrier l’inacceptable.
Il n’a jamais cessé de malmener la soutane, la kippa, les femmes couvertes comme des pestiférées, les hommes barbus et le mensonge en politique.
Ainsi achalandé, il quitte l’Iran à l’âge de 25 ans et s’installe en Belgique.
« Pour apprendre à aimer et oublier de haïr », a-t-il dit.

Chez maelstrÖm il a publié 3 romans : Pressé immobile, De ce côté du mur et La Septième Ville ainsi que 2 recueils de poésie : Que tu sois et La révolte des poètes.
Son nouveau roman sort fin 2019 Le syndicaliste, le soufi et moi.